FAQ de l’exercice n°9
Si vous n’y trouvez pas la réponse à votre question, posez-la par l’intermédiaire du lien proposé dans la description de l’exercice, sur cette page.
Matériels et logiciels
Pourquoi faut-il impérativement utiliser la version 2301 de m.objects ?
- Cette version est imposée afin d’empêcher tout problème de compatibilité qui se poserait si chacun utilisait sa propre version. Imaginons que Paul utilise pour la séquence n°1 la version 2301, Pierre ne pourrait pas enchaîner avec la version 2296 qu’il utilise habituellement, car la compatibilité n’est pas assurée dans ce sens-là.
Ce serait évidemment encore plus problématique d’utiliser un autre outil, tel PTE.
Puis-je installer deux versions de m.objects sur mon ordinateur ?
- Oui, c’est tout-à-fait possible. On peut par exemple continuer à utiliser la 2273 auquel on est habitué pour ses travaux en cours, tout en participant à l’exercice avec la 2301.
J’ai lu dans les conditions de la journée d’initiation à m.objects qu’il fallait apporter son ordinateur portable. Un ordinateur portable est il obligatoire pour participer à l’exercice ?
- Un ordinateur portable est indispensable pendant la formation pour pouvoir reproduire les manipulations montrées par l’animateur. Ensuite, pour créer ses séquences, n’importe quel ordinateur fait l’affaire.
Réalisation de la séquence n°1
Est-ce que la séquence n°1 doit être le début d’une histoire ?
- Parmi les procédés de narration moderne, le flash-back est très utilisé, aussi il n’est pas nécessaire de vouloir à tout prix débuter une histoire en exposant une situation de manière conventionnelle. La séquence n°2 (voire la n°3) pourra expliciter la séquence n°1. On peut aussi envisager que le deuxième auteur place sa séquence n°2 avant la n°1 qu’il a choisi de compléter ! Pour chaque séquence n°1, gardez l’idée maîtresse suivante : donner envie à un autre auteur de compléter votre travail. La manière de le compléter peut être laissée libre.
Faut-il obligatoirement du texte sur la séquence n°1 ?
- Non, chacun a en mémoire d’excellentes séquences audiovisuelles où une ambiance est posée par l’image soutenue de musique et/ou de bruitages.
Est-il vraiment indispensable qu’il n’y ait qu’une seule musique par séquence ?
- La notion de séquence implique une homogénéité dans l’ambiance. Il ne peut donc y avoir qu’une seule ambiance sonore. Il est possible de mixer ou d’abouter un ou plusieurs extraits musicaux, à condition que l’auditeur ne le perçoive pas !
Comment dois-je conclure ma séquence n°1 ?
- Au niveau image, il suffit de faire un fondu au noir. Si l’on utilise une musique, dans le cas d’une fin musicale (c’est-à-dire de la fin naturelle de la musique choisie), le problème ne se pose pas ; sinon, il suffit de shunter (c’est-à-dire de réaliser un affaiblissement progressif). Celui qui enchaînera sur une séquence n°1 gèrera cet enchaînement dans le cadre de la séquence n°2.
Réalisation de la séquence n°2
Un auteur peut-il, dans une nouvelle séquence enchaînée à une séquence existante, prendre cette dernière comme un sujet de plaisanterie ?
- Ce n’est possible qu’avec l’accord de l’auteur de la séquence en question.
Lors de la présentation de lancement, il avait été précisé d’une part que le groupe déciderait quelles séquences « tiennent la route », d’autre part que toutes les séquences ainsi sélectionnées seraient attribuées. Ceci a disparu des documents publiés et n’a pas été évoqué lors des réunions. Qu’en est-il ?
- Depuis la réunion de lancement, les animateurs ont décidé de faire au plus simple : toutes les séquences seront mises à disposition de tous. Si un auteur est intéressé par une séquence, il construira une autre séquence à placer avant ou après. Une séquence qui n’intéresse personne restera orpheline.
Est-il possible de modifier une séquence n° 1 pour lui enchaîner une autre ?
- Pour chaque séquence n° 1, le niveau de modification autorisé a été défini : total, partiel ou nul. Ces niveaux ont été communiqués aux participants.
Quelqu’un qui n’a pas participé à la construction des séquences n° 1 peut-il se joindre à l’exercice ?
- Bien sûr, à condition de respecter les niveaux de modification autorisés.
Pour venir à bout d’une difficulté
Si j’ai une idée, mais que je ne sais pas manipuler le logiciel, est ce que je peux me faire aider ? Et par qui ?
- Bien entendu. L’exercice de style étant considéré comme un moyen de se lancer, il ne faut pas hésiter à se faire aider. Si vous connaissez un animateur ou que vous le voyez à une réunion, c’est l’occasion de le lui demander. Sinon, il suffit d’envoyer un message via l’adresse indiquée en page de description de l’exercice.